mercredi 5 février 2014

Aux origines de la théorie du genre


D'abord, le gouvernement veut nous faire croire que la théorie du genre ça n'existe pas. Puis nous avons montré que ces théories farfelues étaient déjà abordées par le pédophile John Money il y a plus de 40 ans de cela. Celui-ci développa plus particulièrement plusieurs théories impliquant l'identité de genre et les rôles de genre. Ce professeur de pédiatrie et de psychologie médicale soutenait entre autre les débats sur la chronophilie incluant l'infantophilie, l'éphébophilie. Autant de termes qui n'existent que dans l'imagination fertile d'un seul homme, mais qui visent par contre à tenter de justifier une infamie: la pédophilie. 

On constate donc quelles sont ces belles valeurs républicaines sur lesquels se basent le gouvernement socialiste pour nous pondre une théorie du genre déguisée en égalité hommes et femmes (et vue les recommandations de l'OMS, ce n'est peut être qu'un prélude pour une sexualisation précoce des enfants). On pouvait penser que John Money était à l'origine de ces théories mais pas du tout. En remontant à la source, on comprend toujours mieux les problématiques. Et la tout devient plus clair. La première à avoir développé ce type d'idéologie serait en fait Dorothy Parker née Rothschild (rien à voir avec la dynastie banquière apparemment).Judith Butler, féministe radicale engagé dans le même combat, aurait elle obtenu une bourse de la fondation Rockfeller par contre. 

Je vous invite également à voir cette courte vidéo de Claude Zimmermann, qui s'est exprimé lors de la conférence CEP (centre d'études et de prospective sur la science). Non seulement il confirme l'origine et la signification de cette théorie mais il indique également sans détour que: "la théorie du genre est une théorie ethnique qui vise à légitimer l'homosexualité".

Fawkes

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Vu de France:

I – De l’apologie et de la justification de l’homosexualité


La théorie du genre est très prisée sur les bords du Jourdain… et sur les rives de l’Hudson…
L’homosexualité y est une “valeur” hautement célébrée.
ephèbes sionistesC’est ainsi que Tel Aviv – où se déroulent de gigantesques Gay prides – se revendique “capitale mondiale des homosexuels”, juste devant New York…
On comprend mieux ainsi le titre fracassant arboré un jour par le webzine tabloïde de propagande JSS News : « Israël et les homosexuels : une histoire d’amour » !(sic !)
Israël a d’ailleurs fait figure d’état pionnier en matière de législation homosexualiste.
C’est une banalité que le rappeler…

La transsexualité y est également très bien vue…
Dana
On se souviendra que le travesti transsexuel Dana, figure emblématique du showbiz israélien, a même été choisi pour représenter Israël à l’Eurovision !
(On peut d’ailleurs se demander ce que fait Israël à l’Eurovision quand ce pays à la localisation d’appartenance improbable aux confins de l’Europe, de l’Afrique et de l’Asie, revendique une appartenance asiatique chaque fois que cela l’arrange!)
BeatieOn se souviendra aussi des titres fracassants de la presse obligée, à l’occasion de la naissance du produit issu de la transexuelle israélienne Beatie devenue “homme” mais pas encore totalement opéré(e).
« Le premier homme enceinte de l’histoire » (resic !)
Cette “paman” à moins que ce ne soit un “mapa” est marié avec une femme (une vraie) et est travailleur social (il donne des conseils d’éducation sexuelle aux adolescents !) : elle il est très connu pour son combat en faveur des homosexuels !
La théorie du genre trouve ses origines chez les lesbiennes juives américaines…
Il est de bon ton aujourd’hui chez les opposants à la théorie du genre d’agiter le spectre de John Money : né le 8 juillet 1921 et mort le 7 juillet 2006 , c’est un psychologue et sexologue néo-zélandais auquel on attribue la paternité du terme anglophone “gender” dans son acception académique, à savoir les différences socialement construites entre hommes et femmes.
Emigré aux USA, Money fit une très belle carrière à la célèbre université médicale John Hopkins comme professeur de psychologie médicale et de pédiatrie.
Pédophile notoire, il fut (tout de même !) critiqué, notamment pour une abominable opération chirurgicale de “réattribution sexuelle” réalisée sur le petit David Reimer, alors âgé de 22 mois !
Une vie, gâchée par ce docteur Mabuse, qui se terminera… par un suicide !
David Reimer (22 août 1965 – 5 mai 2004) était un canadien né garçon et en bonne santé ; une circoncision mal faite lui valut l’ablation du pénis et, pensant que c’était le mieux à faire ( ?), on pratiqua une “réassignation sexuelle” et on l’éleva comme une fille. John Money citait cette réassignation comme exemple de réussite et y voyait la preuve que l’identité sexuelle est essentiellement due à l’éducation.
Mais à quinze ans David – qui était devenu(e) Brenda – voulut reprendre son identité masculine !
Par la suite il publia son histoire pour décourager de telles pratiques médicales.
Il se suicida à l’âge de 38 ans ! Au bilan : l’illustration d’un échec patent de l’idéologie de la transexualité.
On peut se demander pourquoi John Money aujourd’hui apparaît pour certains comme une “grande figure” de la théorisation du genre, alors que ses expérimentations conduisirent à des échecs cuisants et qu’historiquement il ne fut pas du tout un précurseur !
Dorothy ParkerC’est que John Money était homme et pédophile et, ce qui ne gâte rien, un goy…
Et on a bien besoin de ces constatations pour éviter de généraliser… et de cantonner la théorie du genre à ses auteur(es) emblématiques : des lesbiennes, juives, américaines, adeptes du féminisme radical !
Tout commence en effet avec Dorothy Parker (née Rothschild) – quarante ans au moins avant les élucubrations pseudo-médicales du pédophile Money.
Scénariste américaine, lesbienne, alcoolique et névrosée, ayant trois tentatives de suicide à son actif, elle annonçait clairement la couleur déjà bien avant la guerre : « L’hétérosexualité n’a rien de normal, elle est juste courante. »
Ce morceau de bravoure figure aujourd’hui en exergue sur le fronton du portail internet GLBT !
Ensuite, Judith Butler, mère revendiquée de la théorie du genre – se qualifiant elle-même de « féministe radicale » – a intentionnellement dévoyé la phrase culte de Simone de Beauvoir (une référence de la sorte, cela fait plus sérieux) pour théoriser ses frustrations d’amazone incomprise et justifier de son homosexualité: « On ne naît pas femme, on le devient ! »
Judith ButlerCe préambule du « Deuxième sexe » annonçait le raisonnement bien connu de l’auteur(e) : pour Simone de Beauvoir, la personnalité de la femme, sa place, son devenir, etc. sont conditionnés par l’éducation de la société dans laquelle la fillette, femme en devenir, est amenée à s’insérer.
Cette vue purement sociétale de la personnalité féminine décrite par Simone de Beauvoir – dont nous ne discuterons pas ici le bienfondé – n’implique en rien une vision mouvante, transsexuelle, de l’être physiologique, concluant que l’identité de féminité est uniquement « acquise dans le temps » et est indépendante d’une nature sexuée de l’individu(e) – ce qui est confirmé aujourd’hui par toutes les connaissances biologiques !
La formule, en soi, n’était déjà qu’un grossier plagiat de Tertullien qui avait proclamé à la toute fin du IIeme siècle : « On ne naît pas chrétien, on le devient » (Apol, XVIII).
Jamais Tertullien, moraliste rigoureux s’il en fut, n’aurait pu imaginer que sa maxime, ainsi plagiée, serait détournée dix huit siècles plus tard… pour justifier de l’homosexualité .

Judith Butler est titulaire de la chaire Maxine Elliot au département de rhétorique et de littérature comparée de l’université de Californie à Berkeley et de la chaire Hannah Arendt de philosophie à l’École supérieure européenne de Sass-Fee en Suisse. Elle est membre de l’American Philosophical Society, a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix Fulbright-Hayes, une bourse Guggenheim, des bourses Rockefeller et Ford, le prix commémoratif Brudner de l’université Yale, un Prix d’excellence de la Andrew W. Mellon Foundation et le prix Theodore W. Adorno 2012 de la Ville de Francfort .
Elle a même été nommée docteur Honoris Causa de l’université de Bordeaux !
Son ouvrage Le Trouble dans le genre, publié en 1990 mais traduit en français seulement en 2005, est considéré comme livre fondateur de la théorie du genre : une référence par les auteurs de la théorie dite des Queers.
Cette théorie des « queers » n’a rien de scientifique. C’est une élucubration sociologique issue du cerveau malade de quelques universitaires américaines névrosées qui derrière Judith Butler sont :
- majoritairement :
juives, lesbiennes et féministes dites « radicales »,
éventuellement :
- transsexuelles féminines (comme Albert/Kate Bornstein)
- plus rarement bisexuelles (comme Eve Kosofsky-Sedgwick)
Cette théorie a cherché des appuis philosophiques, qu’elle trouve effectivement, notamment en France, dans la même mouvance: Derrida, Foucault, Marie Hélène Bourcier, Elisabeth Badinter, ou Sylviane Agacinski, l’auteure de l’inoubliable sentence: « S’il n’y avait pas d’homme, il n’y aurait pas de femmes » !
Tout cela nous montre bien que la théorie du genre (dite théorie « queer » en anglais) est intrinsèquement liée à une vision homosexuelle des rapports entre individus !
La recherche désespérée d’une “justification” zoologique
Dans le but d’apporter une « justification » scientifique à l’idée que l’homosexualité est, dans une société (humaine ou animale) une « option comportementale normale », certains « scientifiques » – notamment californiens – ont rédigé des communications et publié des travaux portant sur cette homosexualité supposée « habituelle » dans le monde animal.
Ce ne sont, en fait, que des extrapolations savamment présentées de façon partisane…et cela ne préjuge en rien de la banalisation effective de l’homosexualité animale dans le milieu naturel.
Parmi les auteurs les plus connus de cette désinformation à visée scientifique, on peut citer :
Marlene Zuk, lesbienne revendiquée, spécialiste de la sexualité des insectes (criquets et coccinelles) et des vers parasites,
- Nathan Bailey,
- Bruce Bagemihl, homosexuel revendiqué,
- Anne Fausto-Sterling, lesbienne revendiquée, spécialiste des vers plats (effectivement eux animaux généralement hermaphrodites !)
Leurs travaux, vu l’outrance de leurs conclusions, ne corroborent en rien leurs affirmations péremptoires.
Il suffira de lire (pour ceux qui en auront la curiosité !) “Biological Exuberance: Animal Homosexuality and Natural Diversity” de Bagemihl qui y expose rien de moins que :
« L’homosexualité est la règle chez les animaux » (sic !)
On pourra conseiller à Bruce Bagemihl de faire un stage approfondi dans un laboratoire d’éthologie…
Il y soutient par exemple – entre autres âneries – que lorsque les femelles de carnivores dévorent leurs petits c’est que « sous l’effet du stress elles confondent petits et proies » (resic !)
On attend impatiemment une quelconque justification de cette “confusion” !
Tout cela n’a, à l’évidence, aucun fondement sérieux, mais le lobby GLBT est si avide de reconnaissance scientifique qu’il se raccroche à toutes les branches ! Même celles qui n’existent pas !
Or les conditions spécifiques associées à la vie en captivité sont parfois source de comportements sexuels déviants. C’est un fait éthologique bien connu…
C’est ainsi qu’il a été observé dans une réserve africaine le comportement ahurissant d’un jeune éléphant – orphelin éléphanteau élevé au biberon en compagnie d’un orphelin rhinocéros blanc – qui, relâché dans la réserve, cherchait à sauter… les rhinocéros !!!
Ce souci de “justification zoologique” est sans doute la raison pour laquelle toute manifestation d’homosexualité animale, constatée en parc zoologique, est aussitôt montée en épingle.
C’est ainsi que le supposé sérieux « Monde Juif » nous gratifie maintenant d’un article à la gloire de deux couples d’oiseaux aux mœurs déviants, sous le titre ronflant :
Israël : des animaux du zoo de Ramat Gan revendiquent le mariage pour tous ! (sic!)
- D’abord deux vautours supposés pédérastes : quelle aubaine !
« Dashik et Yehuda, deux vautours mâles, sont les premiers à avoir revendiqué le droit d’être “un couple comme les autres”. Ce couple homosexuel a fait la une des journaux en Israël, quand ils ont voulu ensemble, adopter des enfants en élevant des poussins de substitution au zoo biblique de Jérusalem en 1999 »(sic !)
manchots lesbiennes- et pour respecter la parité, maintenant deux manchots (lesbiennes ?), appelés – par évidente ignorance de la journaliste Déborah Partouche – des “pingouins” !!!
« Ce sont Suki et Chupchikoni, deux pingouins femelles qui s’aiment au grand jour au safari de Ramat Gan, le parc zoologique situé au nord de Tel Aviv. Dès que Suki et Chupchikoni ont commencé, patte dans la patte, à recueillir des matériaux de nidification, le personnel du zoo a supposé, à tort, que le pingouin compagnon de Suki était un mâle. D’autant plus que les Pingouins, mâles et femelles, s’accouplent pour la vie.
Le couple vivait tranquille au sein des autres couples hétérosexuels pingouins du safari jusqu’au jour où un étudiant en médecine vétérinaire faisant une recherche sur le paludisme aviaire, a dû prélever des échantillons de sang.. Et ces analyses ont révélé que Chupchikoni était.. .une femelle !
“C’est notre premier couple animal de lesbiennes au Safari “, a déclaré Tamouz Setti, la responsable du département aviaire du zoo safari de Ramat Gan ” Et parce qu’il y a quelques jeunes hommes disponibles dans ce groupe de pingouins, nous sommes certains que c’est un choix qu’elles ont fait d’être ensemble et pas un couplage par défaut. “ a-t-elle ajouté.
Que ne ferait-on pas en Israël pour légitimer le “ mariage pour tous” !
Car cet article tombe juste au moment où une loi sur ledit mariage agite les milieux politiques israéliens…
Une coïncidence sans doute



Lien connexe:

Théorie du genre, les mensonges d'état (vidéo récapitulative)

Source: 
Vu de France

7 commentaires:

  1. déja aaron russo lors de son interview peu avant sa disparition nous apprenait pourquoi rockefeller avait financé les mouvements féministes dés le début des années soixantes.

    ces grands malades sataniques du NOM n'ont qu'un objectif, l'asservissement moral, mental, économique et physique de l'humanité.

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  2. La ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti, a officiellement lancé ce lundi les travaux pour le futur projet de loi famille. Parmi les mesures à venir, la création d'un statut juridique nouveau pour les 16-18 ans, qui leur ouvrirait notamment le droit de vote aux élections locales.

    pré majorité à 16 ans la porte ouverte vers ce que vous devinez...

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  3. Scandaleuse clémence des juges pour le pédophile du CRIF

    http://fr.sott.net/article/3979-Scandaleuse-clemence-des-juges-pour-le-pedophile-du-CRIF

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  4. Guy je ne me souviens plus avec toutes les infos qui ont traite du sujet, si il a ete cite ou pas celui la aussi pas mal dans son genre =

    Alfred Kinsey, (1894-1956) professeur de zoologie - oui : zoologie vous avez bien lu - est l'homme dont les travaux ont inspiré la théorie du genre dont voici une analyse.
    Kinsey a écrit deux livres tout à fait odieux sur la sexualité humaine. Ses recherches, qui furent financées par la famille Rockfeller, ont consisté - entre autres - à prouver que les viols sur les enfants n'avaient pas les effets psychologiques qu'on prétendait - dans la vidéo ci-dessous vous verrez comment il a procédé et quelles furent les conséquences de ses "travaux" :

    voir la video ici = http://mahamudras2.blogspot.fr/2014/02/martine-dessine-des-b.html

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  5. http://www.dailymotion.com/video/xjf444_maurice-gutman-elu-ump-du-crif-pedophile-piege-par-fr-2_news?start=252

    Il faudra qu'il viole un chat !

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  6. Erratum, la Rothschild dont il est question n'est pas de la dynastie banquière, je me suis un peu vite avancé, j'ai corrigé l'article:

    http://cinema.nouvelobs.com/articles/27176-serie-hollywood-stories-6-dorothy-parker-la-mort-en-sursis

    L'article d'origine est juste, j'ai juste mal interprété l'origine de cette Rothschild.

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  7. http://www.dailymotion.com/video/xy94rr
    Le règne de la minorité, l'émergence du politiquement correct S/T

    Un film qui devrait être diffusé dans toutes les écoles de France. (histoire d'argumenter le petit dessin en entête)

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